NON !

NON !

Il y avait pourtant ces lancinants messages anxiogènes et ils avaient réveillé de lourdes mémoires de peurs et d’angoisse chez un nombre anormalement élevé d’êtres humains. Chaque jour nous entraînait un peu plus dans un maelström audiovisuel chargé d’incohérences et de vociférations inquiétantes.

La liberté d’être, de danser tous ensemble, de créer, de travailler, de respirer, de vivre à l’extérieur au grand air et sans masque, de rencontrer les gens que l’on aime sans craindre de les embrasser ; Tout cela, oui tout cela s’en était allé à la faveur d’un mal semblant sournoisement guetter chacun d’entre nous. La peur, croque mitaine difforme, gloutonnait l’amour et installait la séparation, encourageant l’isolement et anesthésiant la conscience collective.

Pourtant, loin de sous-estimer la réalité de cette nouvelle maladie et la nécessité d’apporter des réponses adaptées, l’ampleur des mesures mises en œuvre et l’état d’urgence dans lequel s’enfonçait le monde questionnait.

Le bon sens est d’abord une question d’appréciation des réalités qui nous entourent et se priver de cette faculté de l’esprit sous prétexte que cela nous dépasse, nous fasse peur ou que nous ne serions pas capable de comprendre, reviendrait finalement à une seule et même chose :

ABANDONNER SA SOUVERAINETÉ

Oui, que cela nous plaise ou non, que cela nous inspire ou non, que nous soyons d’accord ou pas, l’esprit EST souverain en chacun. Même si beaucoup l’ont oublié, vous êtes, nous sommes L’ESPRIT.

La liberté est à l’esprit ce que l’eau est à la vie, une alchimie indispensable au déploiement du vivant dans sa diversité. Il s’agit ici d’un principe cosmique à l’œuvre sur cette matrice TERRE et ce principe est un principe que l’on ne peut détruire ou bloquer dans son rayonnement. Il demeure possible de le contrarier ou de le limiter dans son expansion en manipulant les grandes forces agissant dans la matière, dans l’infiniment petit. Nous atteignons ici, dans ce passage étroit, le seuil critique d’empêchement. Que celui qui a des oreilles entende…

L’humanité est depuis près d’un an mise sous pression, sous couvre-feu, sous anxiolytiques, sous oxygène artificiel, sous injonctions décidées par une minorité d’hommes et de femmes s’étant auto-proclamés les seuls capables de décider et d’imposer au plus grand nombre.

Il n’est même plus question ici de sensibilité politique ou de préférence personnelle, cela dépasse le cadre des idées, des partis, des opinions ou des dogmes. Pouvez-vous l’apercevoir ? C’est au delà qu’il faut aller pour trouver un sens à ce que nous vivons aujourd’hui. Seul votre esprit libre, libéré de vos croyances et de vos peurs peut emprunter cette voie. Où en êtes vous sur ce chemin ?

Alors que l’hypnose collective ravage de nombreuses intelligences malmenées par des chiffres et des courbes, l’exécutif montre d’inquiétants signes de troubles obsessionnels compulsifs. Certes, accepter de reconnaître son entêtement, voir certaines de ses obsessions quant-aux choix sanitaires imposés au peuple de France réclament le courage et la sagesse de remettre en question la méthode employée pour « faire la guerre » au virus.

Laissez-nous faire nous disent celles et ceux qui sont aux commandes, enfermés dans leurs certitudes et de fait, totalement hermétiques au dialogue, à la concertation, aux alternatives, aveuglés par on ne sait quelle puissance et réfutant toutes les observations pointant les nombreuses anomalies dans la gestion de cette crise.

Les anciens disaient que la prudence était mère de toutes les vertus et que la précipitation ne pouvait engendrer que le désespoir. Cherchez et vous trouverez, alors je cherche et je me questionne. Nous sommes si loin des dévastations des grandes épidémies que nous avons connu par le passé, cela est une certitude. Mais alors qu’est ce qui se passe sur la terre et qui œuvre à pareille déshumanisation sous couvert de protéger la vie du plus grand nombre? Il nous appartient de le découvrir, le temps presse !

J’aperçois l’ampleur de la tâche qui nous attend, j’entends la souffrance des anciens parqués dans leur chambre, coupés des liens fraternels. je ressens la colère de celles et ceux qui veulent combattre. J’ai mal pour l’humanité privée du sourire de la vie. Je vois aussi les loups à peine tapis dans l’ombre, les desseins de celles et ceux déguisés en bergers, donneurs d’ordres et de leçons, poussant avec perfidie les enfants de la terre vers de funestes lendemains.

NON ! Nous n’accepterons pas l’inacceptable, dussions-nous y perdre notre vie pour gagner notre liberté.

O.V

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